Je ne sais que dire, à propos de Marie. Quelle pureté d'âme- ayant été son voisin, à Anderlecht, pour à peine trois ans, je m'estime assez bien placé pour le savoir, et le faire noter.
Toujours sincère, secourable envers ceux qui en avaient besoin, et envers moi, au passage.
Marie compte parmi les rares personnes à laisser en ma mémoire une trace indélébile. Toujours entourée de ses innombrables chats et chiens.
Peu importe la courte vie qu'elle a connue, je ne m'inquiète pas le moins du monde, quant à la gloire qui lui est due dans l'au-delà. Et je le lui ai déjà dit chose semblable, de son vivant.
Dernière chose, et non des moindres, de façon posthume, je voudrais faire valoir à quel point elle a été sinon offensée, du moins atteinte, par de sempiternels assauts énergétiques d'un monde trop froid, de personnes trop peu bienveillantes surtout, à son endroit.
Voilà un fait saillant, qui n'a jamais échappé à mon humble discernement. Fait que je décrie.
Mes condoléances, à tous ceux qui lui étaient chers, et en particulier, à sa fille.

Anthony Masson- 30/09/2018