Je ne connaissais pas personnellement Pierre-Paul MOUZELARD sinon de nom, et via la fierté de l'ami Serge MOUZELARD, conseiller communal, lorsqu'il m'en parlait ...

Mais je tiens ici, en ma qualité de mandataire communal depuis 31 ans, à apporter à une famille dans la peine, mes sincères condoléances, accompagnées de mon merci à une personnalité qui a pu nous renseigner et nous conseiller, le cas échéant !

Courage à vous tous ! Bon voyage à Vous, Pierre-Paul !

Roger FRANCOIS Echevin à Bertrix- 29/06/2013

Je vous prie de bien vouloir accepter mes très vives condoléances.

omlt.cha- 28/06/2013

A toi, Thibault, ainsi qu'à tes proches, j'adresse mes condoléances émues en vous souhaitant de vous soutenir les uns les autres avec courage et affection. A ton papa, j'envoie mes pensées là-haut...

Ton ancienne collègue Béa

Béa VASBINDER- 28/06/2013

Sincères condoléances! Nous ne pourrons être présents, mais nous sommes en communion de prière avec vous! Courage!

Valérie, Benoît et les enfants Kettels-Antoine- 28/06/2013

1
Je demande le silence
Maintenant qu'on me laisse tranquille
Qu'on s'habitue à mon absence
Je vais fermer les yeux
Je ne veux que cinq choses
Cinq racines préférées
L'une est l'amour sans fin
2
La seconde est de voir l'automne
Je ne puis vivre sans que les feuilles
Volent et retournent à la terre
La troisième est l'hiver grave
La pluie que j'aime la caresse
Du feu dans le froid sylvestre
En quatrième lieu l'été
Rond comme une pastèque
3
La cinquième ce sont tes yeux
Mathilde mienne Ma bien aimée
Je ne veux pas dormir sans tes yeux
Je ne veux pas vivre hors de ton regard
Je vais refaire le printemps
Pour que tu puisses encore me voir
Amis voici ce que je veux
C'est presque rien et quasiment tout
Maintenant si vous le voulez partez
4
J'ai tant vécu qu'un jour
Vous devrez m'oublier
M'effacer de l'ardoise
Mon coeur fut interminable
Pourquoi réclamer le silence
Vous ne me croyez pas mortel
Le contraire va se produire
Voici que je vais vivre
Voici que je suis et continue
5
Je n'existerai plus mais au dedans
De moi pousseront les céréales
D'abord les grains qui rompent
La terre pour voir la lumière
Mais la terre maternelle est obscure
Et au fond de moi je suis obscur
Je suis comme un puits et dans mes eaux
La nuit abandonne ses étoiles
Pour vaquer seule à travers la campagne
6
J'ai tant vécu c'est la question
Que je voudrais vivre à nouveau
Je ne me suis jamais senti aussi sonore
Je n'ai jamais eu autant de baisers à offrir
Maintenant comme toujours il est tôt
La lumière vole avec ses abeilles
Laissez moi seul avec le jour
Je demande la permission de naître
(Pablo Neruda)

Je suis de tout coeur avec vous dans la peine qui est la vôtre.
Je garde , de Pierre-Paul, un souvenir d'un homme de dialogue , profondément bon, drôle et à l'humanité généreuse ...
Ce n'est pas un hasard si l'amitié qui lie nos parents dure depuis aussi longtemps...
La journée de lundi était lumineuse...J'ai beaucoup pensé à vous , à côté desquels je ne pouvais pas être présente pour saluer le départ d'un ami. Je me suis dit qu'il n'y avait pas de plus bel envol que de partir entouré de tant d'amour ...
Je vous embrasse tous et toutes...
Véronique

Veronique Abel- 03/07/2013