Monsieur Jean-Louis HABIB JIWAN

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Domicilié à Moxhe (4280)
Né à Schaerbeek (1030) le mardi 14 septembre 1965
Décédé à Moxhe (4280) le dimanche 24 octobre 2010 à l'âge de 45 ans
Epoux de Madame Sophie ENTHOVEN

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le lundi 25 octobre 2010.

Les témoignages

3 témoignages (1 privé)  
Témoignage 

J'ai appris aujourd'hui le départ de Jean-Louis.

Jean-Louis était mon ami en Humanités à Saint Louis (Bxl). On a fait toutes nos études ensemble depuis la première primaire jusqu'à la fin des humanités. Douze ans de vie commune en quelque sorte... Lui a fait Latin-Sciences, moi Latin-Grec. Avec nos choix d'options, on se voyait moins en classe, mais on s'est toujours beaucoup apprécié mutuellement, avec nos caractères complémentaires, moi un peu grande gueule, et lui d'une discrétion et d'une gentillesse absolues.

On se rencontrait parfois à l'université, toujours avec beaucoup de chaleur et de complicité. J'étais très fier de lui d'avoir pu concrétiser sa passion éternelle pour la chimie avec un poste à l'université. Situation dont il ne s'est jamais vanté. Jean-Louis était la modestie même.

Je suis très triste de ta disparition, beaucoup trop tôt...

Je ne connaissais pas ta famille. Toujours cette discrétion absolue...

Mais je souhaite partager ma tristesse avec elle et lui souhaiter plein de courage.

Salut Jean-Louis, jusqu'à ton retour.

Ton ami Xavier

Xavier ROLLIN- 29-10-10

Témoignage 

Dès le premier jour où j'ai rencontré Monsieur Habib, je me suis identifié à lui. Il émanait de lui une certaine noblesse qui m'a beaucoup attiré et impressionné bien d'autres. Noble depuis sa science jusque dans sa façon d'enlever ses lunettes, de vous parler, de discourir en mettant sa main dans sa poche tout en agitant ses lunettes et vous souriant... C'est parfois ces petits détails qui nous manquent.
Nous avions en commun une manie qui était celle de mettre un point en fin de chaque idée écrite, chaque trait dessiné, chaque mot parfois. Avec mes amis, nous disions qu'il était mon ami de point. A chacun de ces nouveaux points que j'écris, je pense à lui. Il est étrange de constater qu'un homme que nous avons si naturellement côtoyé n'est plus des nôtres; ce me semble aujourd'hui encore difficile à admettre.
Homme de goût, époux bien aimé, collègue de travail, professeur, symbole de réussite, il était tout cela et bien plus que cela! Faisons le vivre en nous par la mémoire que nous avons de lui ainsi il sera toujours présent dans nos coeurs.
J'adresse mes condoléances tout d'abord à la famille mais également à tous ceux qui, comme moi, l'appréciaient et le regrettent.

Anonyme Anonymous- 27-10-10