Monsieur Jean-Louis HABIB JIWAN

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Domicilié à Moxhe (4280)
Né à Schaerbeek (1030) le mardi 14 septembre 1965
Décédé à Moxhe (4280) le dimanche 24 octobre 2010 à l'âge de 45 ans
Epoux de Madame Sophie ENTHOVEN

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le lundi 25 octobre 2010.

Les hommages

8 hommages (3 privés)  
Hommage 

Heureux ceux qui pleurent; ils seront consolés.

En gardant les souvenirs des annees riches avec mon college généreux et fort estimé.

André Laschewsky- 03-11-10

Hommage 

J'ai eut l'honneur d'avoir cours avec le Pr.Habib lors de ma première année et malgré toutes ces années je me souviens encore du plaisir qu'il avait a donné cours.
        Je voudrais juste lui dire merci pour toutes ces heures consacrées à nous instruire et je me considère chanceuse d'avoir pu croiser son chemin.
Je présente mes sincères condoléances à toute sa famille.
Nadine MED5

M.E.Nadine T.- 27-10-10

Hommage 

Il est parti dans la dignité et la discrétion, à l'image de ce qu'il était.
Puisse le respect de cette volonté nous donner la force d'accepter son voyage vers Ailleurs.

Fatima - Zohra Bakhouch- 26-10-10

Hommage 

c'est avec une immense tristesse que j'apprends le décès de Monsieur Jean- Louis Habib Jiwan. Les élèves de l'université on perdu un très grand professeur; posé, à l'écoute de ses élèves et toujours présent pour répondre à leurs questions.
Je présente à toute sa famille mes sincères condoléances.
Fanny Dufrasne élève en vete11ba

Fanny dufrasne- 25-10-10

Hommage 

Mercredi passé, après le cours de chimie, j'ai été poser une question à Monsieur Habib. Je ne comprenais pas comment le phosphore pouvait se lier plus de 3 fois. Je lui ai dit: "En secondaire on a jamais vu ça!". Et là, d'un coup ,il m'a fait un énorme sourire et il m'a dit "Mais içi on est à l'université!". Je sentais la fierté dans sa voix. "On verra ça plus tard dans le cour", a-t'il ajouté, sans cesser de sourire.
C'est comme ça que je veux me souvenir de lui. Comme d'un homme dont la plus grande fierté était d'enseigner aux petites têtes blondes que nous étions les rudiments de la chimie. Même si je ne vous connaissais depuis moins de deux mois, je ne pourrais m'empêcher de penser à vous, désormais, en entrant dans l'auditoire A.
Merci pour tout, pour votre patience, votre savoir, votre gentillesse, votre fermeté, aussi, parfois, quand il le fallait. Toutes mes condoléances à vos proches.
Adieu M. Habib

Ibrahim Khayar- 25-10-10