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Le Conseil d'Administration et le personnel de la RCA de Pepinster présentent leurs condoléances à la famille
Régie Communale Autonome de Pepinster- 13/06/2018
« Le troubadour est fatigué », il a tiré sa révérence, sur un dernier soupir.Tout le monde l’aimait bien notre FrankiSes silences étonnaient, interpellaient les nouveaux venus, son intériorité lui donnait des airs de moine tibétain et puis survenait, lézardant l’air comme un éclair, un grand éclat de rire dont il avait le secret. Il nous revenait comme il s’était éloigné, par surprise, un peu comme un gamin farceur.Ce n’est pas un hasard s’il avait choisi la batterie ni si plus tard, il exposa sur de multiples scènes ses chansons, ses mots, ses cris. Il y trouvait son équilibre et un sens à sa vie. Sans parler de son amour pour Brassens, son pote de toujours qu’il interprétait de façon magistrale, avec des sonorités de puriste.Chacun de ses amis possède sans doute une petite part unique de cet homme multiple, le souvenir d’un regard, d’une parole, d’un geste."Il n’est pas dupe il sait très bienQue ses chansons ne servent à rienQu’à recueillir, dans le cœur des enfantsUn peu de tendresse en passant.Le troubadour est un mendiant"Toutes mes condoléances à sa toujours "petite sœur" et à sa famille
Jean Larbanois- 13/06/2018
On a tous en nous quelque chose de Franki LambouUne étincelle dans le cœur, la bienveillance d’un regardOu celle d’entendre une voix qui raconte une histoireUne sérénité qui s’installe dans les heures qui s’écoulentL’écoute du silence, la douceur d’une présenceLe réconfortDes instants pleins de riens qui apaisent et se taisentLa bienveillance dans le cœur, une étincelle du regardUne complicité pudique, un baume guérisseurUne magie qui opère et nous libère de nos chimèresUne alchimie qui sillonne l’air, nous entoure et nous protègeOn a tous en nous quelque chose de toi, FrankiUne vibration qui nous parcourt à fleur de peauAu bord de l’émotion qui nous emplit et nous submergeComme un frisson qui nous caresse avec tendresseC’est une sensation douce que nous partageonsDans une grande communauté d’amitiéCarAu-delà du poète et de l’artiste qui sont en toi,Je me rends compte que tu peuxÊtre gourou, Franki LambouAlain« Les vrais enterrements viennent de commencer » Brassens, Les Quat’z’arts
Alain ENGELMANN- 13/06/2018
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