Je suis atterré d’apprendre par Venance, puis par le journal, la disparition aussi subite de Micheline. Comment accepter la douleur de la séparation, mon cher Francis ? Il faudra certainement beaucoup de détermination et de résignation. Il faudra aussi beaucoup de confiance en la Vie, en se disant que le périple terrestre de Micheline n’aura pas été vain ! Non seulement en raison de l’aventure humaine que vous avez partagée et dont la sincérité transpirait dans votre relation dont j’ai eu le bonheur d’être le témoin lors de quelques voyages organisés par des compagnies d’assurances. Mais aussi, et peut-être surtout grâce à l’empreinte indélébile qu’elle laissera dans son souvenir dont toi Francis, tes enfants et tes petits-enfants êtes les dépositaires à jamais !
Qu’il me soit permis de conserver par devers moi, l’image d’une Micheline gaie, riante de mes blagues de potache attardé et pétillante d’une joie de vivre communicative.
Cher Francis, je pense sincèrement à toi et je te souhaite le meilleur des courages.

Roger KAISER- 20/12/2008