Madame, Monsieur Gilet,
Vendredi dernier, après 16h, je croise Thomas à Yvoir et je le reconduis à Godinne.
Sur le trajet, nous papotons : sa formation de peintre en bâtiment, son ras-le-bol de la boucherie, sa petite nièce, ses assuétudes, son avenir, ...
Il a vraiment eu l'air content qu'on ait parlé avec lui, de lui, tel qu'il est, à parler d'espoir.
Ça devait être rare pour lui. Ça lui a fait du bien. Ça se voyait sur son visage.
J'ai été content de partager avec lui cette conversation.
La perte d'un enfant est la pire des choses qui puisse arriver. C'est brutal. On ne s'en remet jamais tout à fait, nous en savons quelque chose.
Il faut cependant continuer à vivre.
Si vous souhaitez en discuter, vous êtes les bienvenus.
Recevez toute notre sympathie.
Denis & Cie.

Denis Malotaux- 30/01/2013