Raymond,

Tu viens d'être happé par la grande faucheuse alors que la vie te souriait encore il y a peu.

Tu étais de ceux qui savaient rester humbles et toutes tes paroles s'arrosaient de sourires.

L'an neuf 2012, tu festoyais à nos côtés dans la bonne humeur et nous appréciâmes encore ton grand coeur.

Ce premier mois de l'année se termine dans l'énorme douleur de ne jamais plus te revoir parmis nous.

Pour penser nos blessures et pour peu que ton âme nous entende, sache cher Raymond que nous avons encore tant de choses à te dire.

Parmis celles-ci nous nous permettons d'en énoncer quelques-unes :

- Un jour viendra notre tour et ce jour-là nous ne t'aurons jamais oublié.
- La mort est une énorme tristesse mais le pire en elle est de t'avoir perdu.
- Si dans ton nouveau monde il y a une place particulière pour les sages, tu dois certainement l'occuper.
- Chaque an neuf que nous fêterons désormais sera un jour particulier et restera imprégné de ta présence.

Repose donc tranquille en sachant que derrière-toi ceux qui t'on connu, aimé et apprécié ne t"oublierons jamais.

A l'année prochaine dans nos coeurs Raymond et à tous les ans neufs.

André, Sandra, Salomée.

André HATERT- 27/01/2012