Toi Marie, indiscociable de mes grands parents que tu a accompagné tant d'année, toi une femme aussi courageuse et aimable qu'on puisse l'être, je suis bien triste, mais heureux pour toi de te savoir partie pour un autre ailleurs. Je sais qu'un jour nous nous y retrouverons pour parler de ce temps que tu a passé ici bas. Acceptez Dominique, Jeannine et José, vous trois que je connais, toutes mes condoléances les plus sincères

Pascal Gérards- 28/05/2008