 | Madame Bénédicte BAURIN Bénédicte, Tu étais un rayon. Un rayon de soleil, même sous la pluie, Que tu chausses tes baskets pour courir avec nous, Ou tes bâtons pour marcher la vie.
Une inspiration. Une force. De la nature, oui, Mais surtout du cœur.
Je te revois, Trail de l’Hermeton, Ton grand sourire en bandoulière, Plus lumineux que n’importe quelle ligne d’arrivée.
Michael, en mission casquettes et tours de cou — Tu riais : “Il déteste ça… mais il le fait pour me rendre heureuse.” Et cette phrase, Ce petit bout de quotidien, Raconte tout.
Un amour solide. Un duo qui fait rêver. Une équipe, Sans bruit, mais avec une tendresse immense.
Aujourd’hui, Toutes mes pensées vont vers toi, Et vers Michael aussi. Car les sourires comme les tiens Laissent des traces, Même quand la course devient silence.
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