Condoléances
Les mots ne valent rien en de telles circonstances.
Croyez pourtant que je suis de tout coeur avec vous trois, je sais combien tu l'aimais, Françoise, la tendresse transparaissait à travers toute ta personne quand tu parlais de lui...
Or la seule chose qui puisse un peu alléger le deuil, c'est justement qu'il soit parti accompagné de tendresse.
Je vous embrasse bien fort,
Edith
Edith Paturiaux- 24-06-08