Chers Henri,Colette, vos enfants ainsi que Christiane,

Perdre un être proche, c'est perdre un peu de soi-même. Lorsque j'ai connu cette épreuve, lors du deuil de ma maman, j'ai eu l'impression pendant des semaines de m'enfoncer dans un abîme sans fin.

Les proches qui m'entouraient m'ont progressivement aidé à reprendre goût à la vie, je serais bientôt à vos côtés, en attendant permettez-moi de vous exprimer par cette lettre mes sentiments de sympathie attristée.
Camille restera pour nous à jamais dans nos cœurs
Je vous embrasse de tout mon cœur.

Sonia et Sendra

SONIA ET SENDRA RAPISARDA- 30-05-17